Nos municipalités

 

Le lac des Îles est partagé entre deux municipalités. La portion de loin la plus grande est sur le territoire de la municipalité d’Entrelacs, mais une partie du côté sud-ouest du lac relève de la municipalité de Sainte Marguerite du Lac Masson. Pour l'essentiel, tous les services directement reliés au lac (permis, par exemple) sont fournis par Entrelacs. Par contre les services municipaux (collectes, entre autres) relèvent de la municipalité où vous habitez.  

Le village d’Entrelacs voit ses premiers colons vers 1850 et aura un magasin général vers 1880. La construction de l'église date du début du 20 siècle. Le village  et sa paroisse  ont connu plusieurs noms au fil du temps. Un bureau de poste y a été établi en 1889, avec le nom de Bureau de poste d’Entrelacs.  La paroisse de Saint Émile, entretemps, avait été constituée en 1803, et les gens du coin appelaient leur village Saint Émile. La  bonne fortune a permis de trouver une photo du village prise au début du 20e siècle, qui a été agrandie et posée sur le mur du Marché Richelieu ; à voir absolument. Bien des commerces sont disparus depuis longtemps, mais on y voit le marché, l’église et le presbytère.

Bien que tous les édifices commerciaux et institutionnels soient maintenant dans le même voisinage, il y avait dans la période de l’après-guerre une autre zone « municipale » près de l’intersection de la rue Chartier et du chemin d’Entrelacs, avec une chapelle, un poste d’essence, un hôtel, pendant un temps, un bar… On y voit encore la chapelle, transformée en résidence privée.

Une histoire beaucoup plus complète est disponible à la mairie.  On peut aussi consulter le site web de la municipalité (mais cliquer sur la liste en haut à droite, il y un onglet "découvrir entrelacs")

Une portion de la partie sud de nos rives se trouve dans la municipalité de Ste-Marguerite-du-Lac-Masson. Cette municipalité fut fondée dans les années 1860, sous la direction d’Edouard Masson, avec une église datant de 1871. Le village était un centre principal du tourisme des Laurentides dans les années 1930, notamment sous l’impulsion du Baron Empain, d’une famille riche belge.   D’autres informations sont disponibles à la municipalité, sur leur site web.